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Les villes à travers les documents anciens

Guéret au 19ème siècle

Guéret dans ses collines, vers 1830  - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Guéret vers 1830, gravure de Rauch
extraite du Guide pittoresque du voyageur en France - 1838
(collection personnelle).

Voir aussi la département de la Creuse en 1883

Texte extrait du Dictionnaire de toutes les communes de France - éd. 1851 - Augustin Girault de Saint Fargeau
(collection personnelle).


GUERET, Waractum, jolie ville, chef-lieu du département de la Creuse (Marche), du 1er arrondissement et d’un canton. Tribunal de 1ère instance. Société d’agriculture. Collège communal. Société d’histoire naturelle et d’antiquités. Cure. Gîte d’étape. Bureau de Poste. Relais de Poste. Population 4,849 habitants
Terrain cristallisé, gneiss.

Autrefois diocèse de Limoges, parlement de Paris, intendance de Moulins, chef-lieu d’élection, sénéchaussée, présidial, justice royale, châtellenie, collège, couvent de récollets.

Guéret doit son origine à un couvent fondé en ce lieu vers l’an 720, et autour duquel se forma dans la suite une petite ville, ancienne résidence des comtes de la Marche. On y voit encore une partie de leur château où séjourna Charles VII, lorsqu’il poursuivait le dauphin son fils, depuis Louis XI, en guerre ouverte contre lui.

Les armes de Guéret sont : d’azur à trois peupliers de sinople sur une terrasse de même, au cerf passant d’or sur le tout. -— Alias : de gueules au cerf passant d’or armé de huit rames de même, au chef d'azur semé de fleurs de lis d’or.

 

Vue générale de Guéret vers 1830,  - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Guéret, vue générale vers 1830,> gravure de Fleury
extraite de La France pittoresque - Abel Hugo - 1835
(collection personnelle).

Guéret et une cariole couverte  vers 1850,  - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Guéret et sa route principale vers 1850
gravure extraite de la carte de la Creuse dans l'Atlas de Vuillemin - 1851
... Légères différence dans les bâtiments à gauche du clocher
(collection personnelle).

 

Guéret était autrefois une place bien fortifiée. C’est une ville agréablement située sur le penchant d’une colline, à 6 km de la Creuse et à 9 km de la Gartempe ; les rues, sans être bien percées, sont cependant assez belles, propres, et décorées de plusieurs fontaines jaillissantes ; les places publiques sont fort jolies et les promenades agréables. On y remarque l’hôtel de la préfecture, le tribunal, la bibliothèque renfermant 4,600 volumes, le collège, le cabinet d’histoire naturelle et d’antiquités, la prison, l’hôpital.

Patrie d’Antoine Varillas, historien.
De Rochon de Chabannes, auteur dramatique.

Commerce et exportation de bestiaux et de beurre — Foires les 4 janvier, 7 février, 9 mars, avril, 3 et 30 mai, 28 et 29 juin, 9 août, 10 septembre, 1er et 25 octobre, 15 novembre, 17 décembre et veille de la Pentecôte.

À 84 km Nord-Est de Limoges, 345 km Sud de Paris. Longitude Ouest 0° 28' 10", latitude 46° 10' 12".

L’arrondissement de Guéret est composé de 7 cantons : Ahun, Bonnat, Dun, Grand-Bourg- Salagnac, Guéret, la Souterraine, Saint-Vaury.

 


Guéret depuis ses abords vers 1880,  - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Guéret depuis ses abords vers 1880
gravure extraite de La France illustrée - V.A. Malte-Brun - 1855 / 1885
(collection personnelle).

 

Article de M. Félix Lecler, extrait de l'Histoire des villes de France d'Aristide Guilbert - 1859. Collection personnelle

Histoire de Guéret

En 732, Eudes, roi d'Aquitaine, battu et poursuivi par la grande armée sarrasine d’Abd-el-Rahman, s'enfuyait vers la Loire. Près de Tours, il rencontra Charles-Martel qui venait le secourir, et qui, n’ayant pu se hâter assez pour lui épargner une défaite, lui préparait du moins une vengeance éclatante. On sait avec quelle rapidité, avec quelle vigueur Charles écrasa ce nombre immense de Sarrasins, dont rien n'avait pu arrêter les invasions successives, et qui avaient désolé toute l'Aquitaine.

Quelques bandes échappées au carnage et cherchant à regagner les provinces méridionales, s'engagèrent dans les contrées montagneuses de la Marche. Là, après avoir brûlé plusieurs villes, pillé plusieurs abbayes sur leur passage, les Sarrasins arrivèrent dans un lieu nommé le Bourg-aux-Moines, où s'élevait un monastère fondé par le saint moine Pardulphe. Ils se préparaient à forcer l'entrée du cloître, lorsque, dit une légende, Pardulphe se présenta seul devant eux, et, faisant un signe de sa main, les frappa tous de cécité. Cette tradition populaire à pris une autre forme dans l'Histoire ecclésiastique de Fleury :

« Le bruit courant que les Sarrasins viendraient à son monastère, y lit-on, Pardulphe dit à ses moines : Mes enfants, s'ils viennent à la porte de cette maison, donnez-leur à boire et à manger ; car ils sont fatigués du chemin. Les moines lui préparèrent un chariot couvert pour le mettre dans un lieu de sûreté ; mais le saint homme déclara que de sa vie il ne sortirait du monastère. Tous les moines s'enfuirent, et il demeura seul avec un courage intrépide. Seulement, un serviteur nommé Euphrasius se cacha pour voir ce qui arriverait. Comme il aperçut ou crut apercevoir de loin les ennemis, il courut dire au saint abbé : Mon père, ne cessez pas de prier, ils approchent. Pardulphe se prosterna et dit : Seigneur, dissipez cette nation qui aime la guerre, et ne la laissez pas pénétrer aujourd'hui dans ce monastère. Ils s'arrêtèrent tout d'un coup, et après avoir parlé ensemble en leur langage ils continuèrent leur chemin. »

Le monastère du pieux cénobite Pardulphe, fondé en 720, sur un terrain concédé par Lantharius, comte de Limoges, réunissait déjà plus de cent moines. Les habitations groupées autour du couvent se multiplièrent, et ce lieu devint au moyen âge, sous le nom de Waractum (Guéret), la principale ville de la haute Marche. Mais il faut le dire, Guéret ne parvint jamais à une grande importance historique. Aucune famille puissante ne s'y établit, et il ne s'y rattache aucun de ces souvenirs qu'ont laissés dans tant d’autres villes les maisons féodales du moyen âge. Les comtes de la Marche, presque tous possesseurs de grands fiefs, soit dans le Poitou et l'Angoumois, comme les seigneurs de Charroux, soit en Normandie comme les Montgomery, soit en Saintonge, en Berry et en Touraine, comme les Lusignan, n'ont guère laissé de traces de leur passage sur cette pauvre et infertile frontière de l'Aquitaine. Cependant Guéret possède un monument qui rappelle une des plus puissantes familles par lesquelles ait été gouvernée la Marche : l'église paroissiale de la ville est, dit-on, l'œuvre de l'un des comtes de Montgomery. Le style architectural de l'édifice confirme cette opinion traditionnelle. Il présente, en effet, le mélange du style roman et du style ogival qui caractérise les constructions du milieu du XIIe siècle. Entre deux nefs latérales, voûtées en plein cintre, s’ouvre la nef principale à ogives lancéolées. Au centre du transept, s’élève une tour octogone d’une bonne architecture romano-byzantine. Cette église, curieuse surtout parce qu’il nous reste peu de monuments de l’époque où elle a été construite, est, à l'extérieur, d’un aspect lourd, sévère et nu. Ses matériaux de granit se prêtaient peu à l'ornementation capricieuse de la sculpture. Du reste, elle n'existera probablement bientôt plus ; le temps et une longue incurie ont conduit le vieil édifice à un état de dégradation maintenant irréparable.

Si l’on en croit un archéologue versé dans la connaissance des antiquités locales de la Marche, non loin de l'église dédiée à saint Pardoux, le pieux fondateur du Bourg-aux-Moines, s’élevait un château bâti également par les comtes de Montgomery. Il reste peu de vestiges de ce monument, sur lequel d’autres édifices ont été successivement construits ; mais l’histoire prouve indubitablement que la grande famille anglo-normande des Montgomery établissait quelquefois sa résidence à Guéret. Mirabilis, femme d’Adelbert IV, habitait cette ville pendant l’absence de son mari, occupé à guerroyer en Aquitaine ; c’était l’époque des luttes sanglantes entre Richard d’Angleterre et ses frères Henri et Geoffroy. Le comte de la Marche, comme le roi de France, se prononça contre Richard, non sans doute que son droit lui parût contestable, mais parce qu’il le regardait comme un voisin dangereux. A son retour à Guéret, Adelbert répudia sa femme, sur la dénonciation d’un de ses gardes : on accusait Mirabilis d’avoir eu des intelligences secrètes avec un chevalier nommé Geoffroy Paret, et d’avoir profité, pour se ménager une entrevue coupable, des fêtes solennelles de la Semaine sainte. A la suite de ce malheur domestique, Adelbert perdit son fils. Ce dernier événement le décida à s’exiler d’un pays où il ne pouvait trouver que de tristes souvenirs. Il prit la croix et partit pour la Terre-Sainte, l’an 1177. En passant au magnifique et célèbre monastère de Grammont, il vendit le comté de la Marche au roi d’Angleterre, moyennant six mille marcs d’argent, vingt mulets et vingt chevaux. Mais cette vente ne reçut pas sa pleine exécution. Aidée du roi de France, la maison de Lusignan fit prévaloir, par la force des armes, son droit d’héritage sur les domaines d'Adelbert.

Pendant les dernières années du XIIe siècle, Guéret, comme les autres villes de la province, fut ravagée par les cottereaux, routiers et pailliers venus pour se mettre à la solde des princes anglais en Aquitaine. On sait que pour repousser les bandes des pillards, une vaste association s'organisa sous le titre de confrérie de la paix, ou paciferi. Les communes de la comté de la Marche réunies, attaquèrent près de Guéret, au mois d'août 1183, les pailliers qui se dirigeaient vers le Berry, chargés du butin des églises et suivis, dit la chronique du Vigeois, d'au moins quinze cents courtisanes. Plus de dix mille furent tués, leur chef, Curbaran, fut pris et pendu avec cinq cents des siens qui avaient échappé au premier massacre.
Nous ne possédons aucun document historique sur les événements arrivés à Guéret pendant le XIVe siècle ; mais la situation de toutes les provinces à cette époque de guerre et de troubles civils, était à peu près la même, et il est certain que pendant le règne désastreux du roi Jean, la frontière de France et d'Aquitaine fut le théâtre de luttes continuelles et sanglantes.

Guéret ne parvint qu'assez tard à la vie communale. Il y avait déjà plus d'un siècle que la plupart des villes de la Marche possédaient leurs chartes d'affranchissement et leurs privilèges, lorsque au mois de juillet 1406, Jacques II de Bourbon signa, au château de Montaigut en Combrailles, l'acte qui permettait aux habitants de Guéret de se réunir et de choisir, tous les ans, quatre consuls pour gouverner la ville et « traiter les les besongnes et affaires de l'union ou université d'icelle », Selon la teneur du contrat, les dits habitants purent tester et codiciler, donner, changer, permuter leurs héritages, fonds et propriétés librement, à la charge de payer, chaque année, à la fête de Saint-Michel, vingt livres tournois de taille franche, et, de plus, trente livres aux quatre cas : à savoir nouvelle chevalerie, le mariage de la fille du seigneur, la prison de corps et le pèlerinage d'outre-mer.

En 1440, les troubles de la Praguerie appelèrent Charles VII dans la Marche. Les rebelles, battus en Poitou, avaient trouvé refuge dans le Bourbonnais, et de là, tentaient de soulever toutes les provinces méridionales. Charles VII demeura à Guéret pendant un mois, et le 2 mai il adressa de cette ville des lettres à la province du Dauphiné pour l'engager à ne pas suivre les ordres du Dauphin révolté. La Combrailles, qui appartenait en fief à Louis VI de Montpensier, avait pris parti pour la Praguerie. Le roi fit marcher ses troupes, commandées par Xaintrailles et Bernard d'Armagnac, contre la ville de Chambon, qui fut prise, et dont les habitants, réfugiés dans le couvent de Sainte-Valérie, eussent été, dit Alain Chartier, passés au fil de l'épée, sans l'intervention du connétable Arthur de Richemont. On voit encore à Guéret la maison où résida Charles VIII, et qui paraît avoir été construite sous Jacques II de Bourbon : c'est un élégant édifice, dont le style et les ornements rappellent à la fois la façade de l'hôtel de Cluny et celle du château de Meillant.

En 1521, Anne de France, comtesse de la Marche, réunit à Guéret les trois États du comté pour s'entendre avec eux sur la rédaction et la publication des nouvelles coutumes. Les consuls des villes affranchies se rendirent à cette assemblée , bien que les officiers de justice du Poitou prétendissent que la haute et la basse Marche relevaient de la coutume de leur province. Sous Henri II, la convention en vertu de laquelle le comté de la Marche se trouva affranchi de l'impôt sur le sel, moyennant une somme considérable, fut conclu à Guéret par Amable de Saint-Georges, sénéchal de la Marche, et Jean Feydau, lieutenant général de la basse Marche (1549).

Les guerres de religion du XVIe siècle n'épargnèrent pas cette province. Cependant la nuit de la Saint-Barthélemy n'y fut point renouvelée, comme dans quelques grandes villes voisines. La noblesse reçut seulement l'ordre de s'assembler et de veiller à la tranquillité publique. Un peu plus tard, des partis de calvinistes venant de la Saintonge firent souvent des excursions dans le pays et prirent d'assaut plusieurs petites forteresses. Guéret était alors entouré de hautes et solides murailles, et n'eut à repousser aucune tentative de siège. En 1588, le gouverneur de la ville, le sieur de Saint-Priest, sortit avec des troupes à la poursuite d'une bande de calvinistes, qui avaient essayé de surprendre Ahun, au milieu de la nuit, et avaient été repoussés avec perte. Il fut tué dans cette courte expédition ; mais un grand nombre de protestants furent massacrés.

Voici la narration de cet événement, telle qu'on la trouve dans un petit écrit contemporain présentant tous les caractères d'une relation officielle. « Après leur échec sous les murs d'Ahun, les protestants partirent cuidans se sauver. Mais ils ne furent guère loin qu'ils ne furent aussitôt poursuivis par la noblesse et commune du pays, tant de la ville d'Ahun que des villes circonvoisines, à savoir Guéret, le Busson, Felletin et Chenerailles, et ayant été joints à un bourg nommé la Chapelle Taillefer, distant de quatre lieues de la ville d'Ahun, ils furent brusquement chargés et vraiment taillés en pièces par le fer et le tranchant des épées des sieurs de Cheron, de la Roche-Aymon, de la Villeneuve, Saint-Priest, capitaine Merigot et autres, tant qu'il en demeura plus de cent sur la place, et entre autres le capitaine Piedmontois entre le grand nombre des blessés. Et lesquels perdirent du moins deux à trois cents chevaux, cinquante ou soixante cuirasses, grande quantité de rondaches, mousquets, pétards et autres armes. Puis rompus et mis en route, furent contraints se ranger et barricader dans le bourg de Pontarion, où ils furent assiégés par ledit sieur de Charron, et autres dessus dits, avec les compagnies des capitaines Prosil et la Faulie, qui se barricadèrent pied à pied d'eux et les tinrent assiégés durant trois jours. Et n'y eut à la poursuite et charge d’iceux personne tué du côté des gentilshommes et communes dudit pays, fors le sieur de Saint-Priest avec deux ou trois soldats seulement, ni même aucun blessé fors le sieur de Piedge et ledit capitaine Merigot. Enfin, ne pouvant plus tenir dans le bourg de Pontarion, sur le soir dudit jour de mardi (14 juin 1588), ils furent, par grande humanité, reçus à composition ; et de six à sept cents qu’ils étaient, ne se trouvèrent que deux cents tout au plus. Tellement qu'ils s'en allèrent avec ce petit nombre, ayant tous la mèche éteinte, sans battre le tambour, et avec protestation et serment de n’entrer et ne porter jamais les armes audit pays de Marche. »

À la fin du règne de Henri III, Guéret se déclara pour la Ligue. Foucaut de Saint-Germain, qui occupait au nom du roi les principales places fortes de la Marche, fut obligé de livrer plusieurs combats aux ligueurs. Il fallut même, après l'avènement d’Henri IV, que le grand prieur Charles d'Orléans vînt se poster avec des troupes et des canons devant Guéret, pour que cette ville se décidât à reconnaître le nouveau roi. Les ligueurs se renfermèrent alors dans Chenerailles, et ils y soutinrent un siège de huit mois contre une armée de trois mille hommes commandée par D’abene et Foucaut de Saint-Germain. Ils furent enfin obligés de se rendre. Les débris du parti se rallièrent sous les ordres du duc de Nemours et du marquis de Saint-Sorlin ; mais ils furent de nouveau défaits dans les environs de Guéret, et poursuivis de ville en ville jusqu’au bourg de Lupersac, dans le Franc-Alleu, sur les frontières de l’Auvergne.

Les luttes religieuses, après cette époque, perdirent beaucoup de leur violence. Le calme fut long à se rétablir d’une manière complète ; mais pourtant, si l’on en excepte l’assassinat du vice-sénéchal Voisin, assassinat commis par quelques gentilshommes de la haute Marche et qui ne resta pas impuni, Guéret n’eut plus à souffrir des troubles excités par les haines religieuses.

Le seul fait qui se rattache à l’histoire de Guéret, pendant le XVIIe siècle, et qui nous paraisse mériter une mention, c’est l’établissement d’un présidial institué, en 1635, à la demande des habitants et des consuls. Les officiers de ce présidial ne semblent pas avoir vécu jamais en très bonne intelligence avec les intendants de la généralité de Moulins, sous la surveillance desquels ils se trouvaient ; car les rapports et les notes des intendants sont loin de leur être favorables, et portent même l’empreinte évidente de sentiments hostiles. Après 1789, Guéret devint le chef-lieu du département et le siège de l’un des sept districts de la Creuse. On porte la population de cette ville à 4,332 habitants : le département en contient 278,019, et l’arrondissement, qui a remplacé l’ancien district, 94,637.

Parmi les hommes dont le souvenir honore cette ville, nous pouvons citer le modeste et savant jurisconsulte du XVIe siècle, Nicolas Caillet ; l’historien Varillas, l’auteur dramatique Rochon de Chabannes, et enfin M. Couturier-Defournoux, l’un des plus vaillants officiers de la marine française, qui commandait en 1788 l’escadre envoyée dans les mers de l’Inde pour défendre Tippo-Saïb contre les envahissements de l’Angleterre.

 

Bibliographie :

  • Manuscrit de 1630
  • Dictionnaire d’Expiily
  • Tripon, Historique monumental de l'ancienne province du Limousin
  • Le père Bonaventure, Histoire de Saint-Martial.
  • Rougier-Chatenet, Statistique de la Haute-Vienne.
  • Chronique du Vigeois.
  • Chronique d’Adémar de Chabannais.
  • Spicilegium.
  • Histoire des grands officiers de la couronne, par le père Anselme.
  • Gallia Christiana.
  • Dubouchet, Généalogie de la maison d'Aubusson.
  • Brief discours sur la défaite des huguenots dans la haute Marche, en 1588.
  • Joullieton, Histoire de la Marche.
  • L'Ancien Bourbonnais, par Achille Allier, continué par Ad. Michel et Bâtissier.
  • Album pittoresque de la Creuse.
  • Archives générales du royaume, pièces relatives à la religion prétendue réformée.
  • Rapports manuscrits des intendants de la généralité de Moulins,
  • etc., etc.

 

 

 

Plan de Guéret et de ses environs vers 1880 - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Plan des environs de Guéret au 19ème siècle
Coin de la carte du département de la Creuse - Malte-Brun - Atlas - 1852 - 1880
(collection personnelle).

 


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 Zoom sur Guéret depuis ses abords vers 1880,  - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur  Zoom sur Plan de Guéret et de ses environs vers 1880 - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur   

 

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