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Les villes à travers les documents anciens

Page de garde de La Normandie de William Duckett

Description de Dieppe en Normandie vers 1860

 

Place Duquesne à  Dieppe vers 1860 par Ludwig Robock - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Dieppe et la place Duquesne vers 1860, par Ludwig Robock



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Gravures, signées Ludwig Robock, extraites de l'ouvrage "La Normandie" de William Duckett - édition 1866
ainsi que le court texte ci-dessous

Dieppe, ville importante de la Seine-Inférieure, comptée autrefois parmi les bonnes villes de France et qui aujourd'hui contient une population de près de 19,500 âmes. Siège d’une sous-préfecture, d’un tribunal de première instance et d’un tribunal de commerce, elle possède, en outre, une chambre et une Bourse de commerce, un collège, une école d’hydrographie, un entrepôt réel, un bureau de douanes, un hospice, un Hôtel-Dieu, un hôtel-de-ville, une salle de spectacle, une halle aux blés, plusieurs marchés, des cours publics de dessin et d’architecture, une bibliothèque, un abattoir et un beau parc aux huîtres.

Dieppe vers 1840 par Morel-Fatio - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Dieppe depuis la falaise du Pollet, par Morel-Fatio, vers 1840 (in 'La Normandie' de jules Janin)

Elle est située à 53 kilomètres Nord-Ouest de Rouen, sur la Manche, à l'embouchure de l’Arques, qu’on nomme aussi la Béthune et qui s’appela jadis la Deep, mot anglais signifiant profond, auquel la localité doit sa dénomination actuelle. Elle naquit au X° siècle d’une agglomération de pêcheurs qui vinrent s’y établir pour la commodité de leur profession ; ils étaient défendus, du côté de la mer et de la plaine, par le fort Bertheville ou Charlemagne, et du côté des bois par le célèbre château d’Arques, dont nous avons déjà parlé. C’était une position des plus heureuses, et leur colonie ne manqua pas de prospérer. En moins de 4 siècles, elle prit un tel essor, qu’elle devint, non seulement la rivale de Rouen, mais encore une des villes les plus célèbres et les plus puissantes du monde, exerçant l’empire des mers, se faisant redouter de l’Angleterre, de l’Espagne, du Portugal, et prenant une part considérable à toutes les découvertes qui ont illustré la fin du moyen-âge et les siècles suivants.
Lors de ses querelles avec Richard Cœur-de-Lion, Philippe-Auguste détruisit de fond en comble ses fortifications, en 1195. Mais elle se releva bientôt de ses ruines. Ce n’est pourtant qu’à partir du règne de Charles V, que commence la période brillante de son histoire. Un traité de commerce qu’elle conclut avec la république de Gênes, excita la jalousie des Anglais, qui se liguèrent contre elle avec les Flamands. Les flottes ennemies se rencontrèrent à la hauteur de Portsmouth ; la victoire resta aux Dieppois, et Portsmouth fut brûlé. Les Anglais ne furent pas plus heureux devant le port de La Rochelle, à la bataille du 24 juin 1372.
Cette grande journée fut la revanche de celle de l’écluse pour les Dieppois, qui s’emparèrent d’un matériel considérable dont leur port s’enrichit. Ils s’en servirent pour faire de nouveaux armements et continuer leurs entreprises sur les côtes d’Afrique, où sept années auparavant on avait vu flotter leur pavillon. Reprenant leur expédition à la hauteur de l’empire de Maroc, ils la continuèrent, la même année, jusqu’aux îles Canaries, dont quelques historiens leur attribuent la découverte. Plus tard, ils les cédaient aux Portugais moyennant de grands avantages, longeaient le Cap à l’est en 1395, et abordaient dans la Guinée, où ils fondaient leurs principaux établissements, dont le nombre était considérable. On aperçoit encore, à l’embouchure de la grande rivière de Gambie, les ruines d’un ancien comptoir qu’ils appelaient le Petit-Dieppe. Leurs bâtiments allèrent ensuite sillonner la mer des Indes, où ils créèrent bon nombre d’établissements qui s’absorbèrent dans ceux que formèrent après eux les Anglais, les Espagnols et les Portugais. C’est aux Dieppois que fut due la création de Québec et de tant d’autres colonies que la France n’a pas cessé de regretter dans le Canada, la Floride, la Louisiane et le Labrador.
Les avantages qu’ils retirèrent de leurs possessions d’outre mer firent que leur ville devint comme l’entrepôt général de toutes les nations. C’est dans son sein que naquit le célèbre Ango, le plus riche négociant de la terre sous François Ier. Le règne de Charles VII la vit tomber, avec toute la Normandie, au pouvoir de l’Angleterre. Elle avait été reprise en 1433 par la France, à laquelle elle n’a plus cessé d’appartenir, quand Talbot se présenta, à l’improviste, en 1442, avec une artillerie formidable, pour en faire le siège ; mais grâce au courage de ses habitants, ayant à leur tête le jeune Dunois et le dauphin Louis XI, les Anglais furent forcés dans la bastille qu’ils avaient construite sur la falaise de l’Est et durent regagner leurs vaisseaux. En 1668, elle fut ravagée par une affreuse peste, qui lui enleva plus du tiers de ses habitants. En 1694, une flotte anglaise de 100 voiles vint la bloquer, fit pleuvoir sur elle plus de 3,000 bombes et de 4,000 boulets, et, pour achever de la ruiner, lança dans son port des brûlots qui y firent d’effroyables dégâts. Elle ne céda point, et pourtant après ce bombardement il ne restait debout que le château, les églises Saint-Jacques et saint-Rémy, et quelques maisons.

 

Vue générale de Dieppe par Félix Benoist - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Vue générale de Dieppe par Félix Benoist vers 1850

Dieppe attire constamment de nos jours des masses d’étrangers de distinction. La ville, sans doute, ne brille pas par ses antiquités ; mais sa situation pittoresque en fait un séjour fort agréable et très recherché en été pendant la saison des bains. Elle est disposée en long, dans la direction des jetées qui courent au Nord-Ouest, et est très étroite. Quoique ses rues soient larges, bien percées et alignées de manière à garantir les habitations des plus mauvais vents, celles-ci y sont généralement construites sur le même plan, à 2 étages, avec balcons sur la rue, et la plupart surmontées d’un pignon qui masque, en partie, leur toiture de tuiles rouges. Elle sont, au reste, peu commodes, l’architecte ayant oublié, dans ses plans primitifs, deux choses essentielles : les escaliers et les lieux d’aisance. Le quai Henri IV, situé en face du port et de l’arrière-port, offre un ravissant spectacle, soit à l’heure de la marée lors du départ et de l’arrivée de bateaux pêcheurs, soit à la marée basse quand on lâche les écluses de chasse, qui donnent cours pendant plus de 2 heures à des eaux écumeuses, se précipitant avec fureur, en bouillonnant, dans toute l’étendue du chenal. De ce point la vue se porte avec amour sur la forêt et les ruines du vieux château d’Arques.

 

L'église St Jacques de Dieppe vers 1860 par Ludwig Robock - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
église St Jacques de Dieppe vers 1860, par Ludwig Robock
Cette gravure a au moins 10 ans de plus que celle ci-dessous.
La porte de gauche est condamnée, une croix a été ajoutée au-dessus
du portail principal, il n'y a plus lieu de placer un drapeau sur le clocher...

L'église St Jacques de Dieppe vers 1860 par Ludwig Robock - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
église St Jacques de Dieppe, par Félix Benoist vers 1850

 

L’église Saint-Jacques à Dieppe est un monument de style ogival, dont l’ensemble appartient au XIVe siècle. Bien que ses dimensions ne soient pas considérables, les trois rangs échelonnés et décroissants de contre-toits et de clochetons que présente l’extérieur, lui donnent un aspect imposant. Les extrémités des transepts et leurs portails sévères remontent à une époque plus ancienne que le reste de l’édifice, et doivent être les ruines d'une église antérieure dédiée à Sainte-Catherine et détruite en 1195. Le portail du Nord, dit Porche des Sibylles, a reçu au XIVe siècle une ornementation pleine d’élégance et de délicatesse. Le portail principal, situé à l’Occident, quoique assez modeste dans ses proportions, offre une belle rosace surmontée d'un pignon aigu très-orné et qu’encadrent deux petites tourelles octogonales. Ce qui l’écrase un peu, c’est la tour carrée, des XVe et XVIe siècles, dont il est flanqué à droite. Cette tour, à chaque face de laquelle sont appliqués trois contreforts qui montent, en s'amortissant, de la hase au sommet, est divisée en 3 étages. Les 2 inférieurs, très simples, ont, sur chaque face, 2 grandes baies ogivales. Le troisième présente de grandes fenêtres, aux frontons sinueux et d'une riche décoration. La tour se termine par une galerie à jour, avec de minces clochetons aux angles.
L'intérieur de l’église manque d’élévation. C’est un vaisseau à 3 nefs et 1 rang de chapelles, long de 100 mètres environ. Les voûtes du chœur, reconstruites au XVIe siècle, sont ornées de pendentifs. La chapelle de la Sainte-Vierge était autrefois garnie de statues, dont il ne reste que les niches. Ses pendentifs, autour desquels se groupaient quatre figures d’homme de grandeur naturelle, ont été détruits. On voit dans la chapelle d’Ango. bâtie en 1535, des sculptures de la Renaissance, malheureusement mutilées. La chapelle du Trésor est fermée par une maçonnerie que recouvre une charmante sculpture du XVIe siècle, représentant des scènes d’indiens et de nègres ; souvenir, sans doute, des anciens voyages maritimes des Dieppois. On prétend que cette église, commencée en 1200, n’aurait été achevée que trois siècles après. On n’était pas si expéditif alors qu’aujourd’hui. Les pierres qui sont entrées dans sa construction. seraient, suivant une autre version, venues toutes d’Angleterre.

Château de Dieppe vers 1860 par Ludwig Robock - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Dieppe et son château vers 1860, par Ludwig Robock

Le château de Dieppe est situé presque au sommet de la grande falaise de l'Ouest, en face de la ville, qu’il domine ; on en attribue la construction à Charles VII. Il était anciennement couvert par une citadelle qui battait la campagne au moyen de forts bastions et de terrasses dont on voit encore les traces. C'est au bas de ces ruines, que se déploie la charmante vallée de Caude-Cotte. Le cours Bourbon est la plus jolie promenade de la ville.

L’établissement des bains de mer de Dieppe se divise en 2 parties distinctes, l’une à l’extérieur, l’autre à l’intérieur. La première se compose des constructions sur la plage, destinées à recevoir les personnes qui prennent des bains à la lame ; la seconde comprend les dépendances d’un vaste hôtel situé sur la place du spectacle, en face du théâtre, et destiné particulièrement aux personnes malades, impotentes ou infirmes, qui font usage de bains chauds, de douches et de frictions. On y a réuni des salles de réceptions, de bal, de concert et de billard, des cercles de jeux, des salons littéraires, des restaurants, des cabinets de société, des cabinets de consultation dirigés par d’habiles médecins. Les baignoires, à l’instar des bains antiques, sont placées au niveau du parquet, et l’on y entre par quelques marches.
L’établissement de la plage se compose :
1° parallèlement à la mer, de 2 pavillons carrés, avec avant-corps ornés de colonnes ioniques formant péristyle, placés en face d’une large terrasse à 120 mètres l’un de l’autre et communiquant entre eux par une longue galerie, à jour sur les côtés, interrompue, au milieu, par un portique, ou arc de triomphe, portant les attributs de la mer et orné, dans l’intérieur, de caissons et de rosaces ;
2° parallèlement au château, qui est tout près, d’un corps de bâtiment placé en face d’un jardin dessiné à l’anglaise, contenant le dépôt des ustensiles de l’établissement, plusieurs salons-restaurants, quelques cabinets de société, le logement du concierge et celui des garçons baigneurs, le tout en bois peint, dans un enclos de plus de mille mètres, entouré de grillages.
Sous la Restauration et surtout vers les dernières années du règne de la branche aînée, Dieppe était, pendant la saison des bains, le rendez- vous habituel des familles titrées de France. La duchesse de Berry s’y était fait chérir par sa bienfaisance envers les pauvres, ce qui n’a pas empêché le conseil municipal d’offrir en août 1853 à Napoléon III l’Hôtel-de-ville en toute et perpétuelle propriété pour devenir une des résidences impériales ; don que l’empereur a cru devoir refuser par une lettre de remerciement adressée au maire, "les charges de la liste civile, y est-il dit, ne lui permettant pas de pourvoir à l’entretien d’une nouvelle résidence impériale.“

Les bains de Dieppe vers 1860 par Ludwig Robock - gravure reproduite et restaurée numériquement par © Norbert Pousseur
Les bains à Dieppe vers 1860, par Ludwig Robock

Les intrépides marins-sauveteurs pullulent à Dieppe. Une maison située sur la jetée de l’Ouest., entre le phare et la croix des matelots, porte celte simple inscription : Napoléon-le-grand, récompense nationale à Jean-André Bouzard, pour ses services maritimes. Comme les temples anciens, ce modeste temple, voué à la reconnaissance, est tourné du côté de l’Orient. Louis XVI en avait eu la première idée. Napoléon Ier mit cette idée en œuvre et consacra 8,000 francs à la construction de l’humble édifice, tel que nous le voyons. Le courage est, d’ailleurs, héréditaire dans cette famille ; le fils et le petit-fils de Bouzard ont marché sur ses traces.

Le port de Dieppe a une superficie de 148,500 mètres carrés. Il se compose d’un chenal d’environ 400 mètres de long, dont l’ouverture est dirigée vers le Nord, du port proprement dit, d’un arrière-port et d’un bassin à flot qui a été creusé par le premier empereur, et qui devait avoir deux fois plus d’étendue, afin d’y mettre une flotte considérable à l’abri de toutes les attaques de l’ennemi. Le port est bordé de quais en maçonnerie. Il peut recevoir 200 bâtiments de 60 à 600 tonneaux, et autant de bateaux pêcheurs. Le bassin peut contenir de 40 à 50 navires à flot. Il entrait autrefois dans le port de Dieppe des bâtiments de 7 à 800 tonneaux. Aujourd’hui il est d’un accès si difficile, par la quantité d’écueils qu’il présente à cause des bancs de galets et de gravier qui s’y forment par suite de l’action continuelle de la mer contre les falaises, qu’il est rare d’y voir un navire de plus de 600 tonneaux.
Napoléon III, préoccupé de la situation du port de Dieppe, a chargé en 1853 une commission de lui fournir les renseignements les plus circonstanciés, tant sur les projets approuvés ou élaborés depuis 1781, que sur les améliorations d’un ordre plus élevé que réclame l’état des choses. A la suite de discussions approfondies, cette commission a soumis à l’approbation de l’empereur les programmes d’un prolongement de la jetée de l’Ouest sous forme d’estacade à claire-voie ; de la construction, dans les parties de jetées existantes, de brise-lames en charpente ; de l’enlèvement continu du galet mobile encombrant la passe ; de la réparation de l’écluse de chasse et de la reconstruction de ses portes ; du dévasement et de l’approfondissement de l’avant-port et des bassins ; du déplacement enfin des chantiers de construction. L’empereur a adopté, en principe, l’ensemble de ces améliorations, dont les ingénieurs évaluent la dépense à 2,200,000 francs, etc. etc.

On divisait autrefois le port de Dieppe en port de l’Est et port de l’Ouest ; c’est du premier que le Pollet et a tiré son nom. Ce faubourg communique avec la ville au moyen d’un pont de bois, suspendu sur bateaux, placé à l’entrée de l'arrière-port, qu’il sépare du port : c’est le passage ordinaire des piétons. Il en existe un autre servant à la circulation des voitures et qu’on nomme Pont-Tournant, à la jonction de l’arrière-port et du bassin à flot.
Le Pollet contient, à lui seul, le tiers de la population de Dieppe ; il n’est habité que par des marins, des pêcheurs et des gens qui préparent ou confectionnent des filets. Les Polletais forment entre eux une race à part ; ils ont conservé toute la pureté, toute la bonhomie des mœurs anciennes, et, de peur que la civilisation ne les corrompe, ils n’ont voulu jamais rien changer au costume qu’ils portaient sous Louis XIV. Ils vont jambes nues ; les hommes, avec un caleçon, une espèce de saute-en-barque, un bonnet de la forme de nos bonnets de coton, à long gland, le tout, d’ordinaire, à raies blanches, bleues et rouges ; les femmes, avec un cotte plus longue, dont le corsage est sans manches. Une cotte plus belle de serge bleue ou rouge, et une large croix d’or pour les femmes, voilà toute la richesse de leur costume les jours de fête.
Le travail de l’ivoire et les pêches constituent la base principale du commerce des Dieppois. La première de ces industries surtout est fort renommée en Europe et même par delà les mers. Elle est poussée à un tel degré de perfection, que les travaux les plus délicats et les plus difficiles ne sauraient échapper à l’intelligence et à l’habileté de leurs ouvriers. Ils n’est point de chef-d’œuvre qu’ils ne parviennent à reproduire admirablement. Plus d’une fois les Raphaël, les Rubens, les Michel-Ange, les Titien, les Paul Véronèse et autres maîtres célèbres ont été copiés par eux avec une exactitude qui confond. Les pêches occupent habituellement plus des deux tiers de la population de Dieppe. Les plus lucratives sont celles qu’ils nomment littorales et qui fournissent en tout temps la plus grande quantité du poisson qu’exige l’approvisionnement de Paris. Dieppe construit, en outre, des navires et fabrique de la dentelle. Il a plusieurs scieries de planches, des raffineries de sucre et quelques typographies. Ses communications régulières avec la Grande-Bretagne ont lieu par bateaux-à-vapeur, et il se relie à Paris par un embranchement du chemin-de-fer de Rouen.


à voir aussi sur ce site une autre page sur Dieppe, par Jules Janin (1840)

et l'histoire de Dieppe jusqu'en 1850 par Aristide Guilbert

 

 





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